mercredi 26 décembre 2012

ALORS COMME CA ON PEUT ECRIRE N'IMPORTE QUOI


Le mardi 11 décembre j'avais écris sur le présent blog : "Je ne peux pas et ne veux pas que le méchant du film soit une pierre plate ." ce qui n'avait strictement rien à voir ni avec ce qui précédait  ni avec ce qui suivait .
Sachant que je suis quand même lu . Si , si . Bah c'est pas énorme mais c'est quand même mieux que le dernier _ _ _ _ (mettez ici le nom d'un écrivain que vous n'aimez pas : BHL , Victor Hugo , Candeloro , etc ) .
Soit c'est dû à l'habitude que j'ai d'élucubrer (c'est un nouveau verbe ) pour un oui ou pour un non , soit c'est lié à une crainte d'aborder l'écrivain incontournable que je suis devenu et qui peut vous sembler tout à fait inaccesible , mais qui a un coeur , un coeur qui bat au rythme des parutions de ces petit billets qui , je le sais , pas de fausse modestie entre nous , vont égayer vos journées bien mornes de congés payés ou de retraité .
Bon , là si ça ne réagit pas , je ne sais plus quoi faire .

2 commentaires:

  1. L'anaphore a acquis depuis cette sinistre saillie du mou de la gauche un talent qui permet de faire avaler bien des couleuvres. Ceci dit, "Je ne peux pas et ne veux pas que le méchant du film soit une pierre plate" s'inscrivait, quoique vous en disiez, parfaitement dans le contexte.

    Amicalement -et joyeux Noël !
    Al.

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