Après avoir expliqué au Plouc Emissaire qu'il ne fallait pas qu'il retourne à l'hosto , j'ai appliqué la formule chère à nos hommes politiques : faites ce que je dit mais pas ce que je fais.
C'est ainsi que Dimanche dernier j'ai utilisé pour la première fois les services du quinze suite au déclenchement sans préavis d'une douleur thoracique persistante et d'une intensité inconue de moi à ce jour . J'ai pu méditer pendant le temps du transfert sur les avantages et les inconvénients de l'euthanasie . J'étais indécis , je ne le suis plus , pour la bonne raison qu'avant d'être assommé de morphine par les hommes en blancs , je ne rêvais que de revolver , ou à défaut de pistolet à clou voire de perceuse électrique . Et mon calvaire n'a duré que 4 heures environ .
Tout le monde a sa petite idée de la douleur et de sa propre résistance à celle-ci .
Une douleur brève et aigue est une chose qui n'est en rien comparable à une douleur intense et permanente . Pour se faire un avis (et se permettre de le donner) il faudrait tester les deux .
Pour moi c'est fait .
bien content de ton retour à la maison. parait que t'as épuisé le stock de morphine de l'hosto.
RépondreSupprimertu vas maintenant pouvoir de consacrer à l'élaboration d'une nouvelle recette de raviolis. je suis sur qu'il reste des variantes et déclinaisons jamais encore testées. je fais confiance à ton imagination débordante pour mettre au point ce prochain festin. N'utilises pas de crême fraiche, c'est la signature d'un autre grand préparateur de ripailles en tout genre.
gros bécos
le jour ou je vais vraiment te faire des raviolis , tu auras intérêt de ne rien laisser dans ton assiette . Pour l'instant je penche pour des raviolis à la mode de caen .
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